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VISIOCONFÉRENCE ZOOM : ENGAGEMENTS ET BONNES PRATIQUES FACE AUX FAILLES DE SÉCURITÉ

Origine des failles de sécurité 

La plateforme de visioconférence Zoom a été conçue initialement pour des besoins d’entreprises. Avec la crise imprévue liée au Covid-19 et au télétravail, en quelques semaines, le nombre d’utilisateurs a explosé !

En mars de cette année, Zoom a été utilisé par plus de 200 millions de participants aux réunions quotidiennes, consommateurs et professionnels confondus, licences gratuites et payantes contre 10 millions de participants en décembre dernier. Ces nouveaux cas d’utilisation ont permis de découvrir des problèmes imprévus (transfert suspect des données de l’application vers Facebook, interventions non désirée dans les conférences ou « zoom bombing », vente de coordonnées utilisateurs sur le darkweb…).

Zoom s’est mobilisé pour corriger ces failles

Depuis le 1er avril, Zoom a déployé un certain nombre de moyens pour garantir sécurité, confidentialité et respect de la vie privée :

  • Suppression du SDK de Facebook dans le client IOS et reconfiguration effectuée pour empêcher de collecter des informations inutiles sur les appareils des utilisateurs Zoom.
  • Suppression du navigateur LinkedIN après avoir identifié une divulgation inutile de données par la fonction.
  • Mise à jour de la politique de sécurité pour plus de transparence et de clarté sur les données collectées et utilisées.
  • Personnalisation par région, du choix des DataCenter, permettant une transparence et un contrôle du transit des données.
  • Suppression de la fonction de suivi de l’attention des participants.
  • Résolution du problème UNC Windows et MAC.

Chacun doit sécuriser ses réunions Zoom : les bonnes pratiques à appliquer

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Je vous conseille et vous renseigne sur les bonnes pratiques à appliquer pour sécuriser vos réunions Zoom.

  • Mise à jour régulière de votre Client Zoom (à effectuer pour chaque utilisateur).
  • Mise en place de mot de passe permettant l’accès à la réunion.
  • Activation et personnalisation de la salle d’attente.
  • Choix de la région pour le transit des données.
  • Utilisation de l’icône sécurité, permettant, en accès direct, à l’organisateur, de gérer les droits du partage d’écran, les messages et le verrouillage de la réunion.
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Terminal autonome de détection de fièvre Hikvision


Caractéristiques
 Plug & Play : Déploiement rapide. Aucun câblage nécessaire, d’installation ou de
configuration
 Capteur d’oxyde de vanadium non refroidi pour mesurer la température d’une cible
 Précision de ±0.5°C, jusqu’à 0.3°C avec l’ajout du Corps Noir
 Distance de reconnaissance : 0,3 à 2 mètres
 Plage de mesure des températures de 30° à 45°C
 Mesure très rapide de la température : détection de visage et prise de température sans
authentification d’identité
 Reconnaissance faciale réalisée en ≤ 0,2 secondes
 Taux de précision de la reconnaissance faciale ≥ 99 %
 Plusieurs modes d’authentification avec mesure de température disponibles
 Peut déclencher une alerte vocale en cas de détection de fièvre
 Masque forcé avec alerte (possibilité d’envoyer un message vocal si une personne ne porte
pas de masque)
 Affichage des résultats de la mesure de température sur la page d’authentification
 Activation d’un message vocal lorsque de la fièvre est détectée
 Statut de porte configurable (ouvert / fermé) lors de la détection de fièvre
 Peut communiquer avec un tourniquet via la sortie IO ou Wiegand pour le fermer en cas de
détection de fièvre
 Transmission des informations de température et enregistrement des données en ligne et
hors ligne au logiciel client
 Solution tout en un avec support intégré
06130 Grasse
Siret 533 663 340 00024 – NAF 4741Z
Installation et paramètres
Distance entre la caméra et les
personnes à contrôler
Température de
fonctionnement
Plage de mesure de température
corporelle
Entre 0.3 et 2 mètres Entre 15 et 35° Entre 30 et 45°
Caractéristiques techniques
Module thermique
Capteur d’image
Matrices à plan focal non refroidi à
l’oxyde de vanadium
Résolution 160 × 120 à 25 images par seconde
Écran intégré 10.1″ résolution de 1024 x 600
Module optique
Max. Résolution Configurable : 2 MP
Interface
Audio Supporte l’audio bidirectionnel
Réseau
1 x LAN
1 x RS-485
1 x Wiegand
2 x USB
1 x IO output
1 x IO input
1 x lock
1 x Contact de porte
1 x TAMPER
Thermographie
Thermographie
Max. température ; Min. température
; Centre
température ; thermographie point /
ligne / surface personnalisée
Écart de température +30 °C à +45 °C
Précision de la température ± 0.5 °C
Détection d’incendie
Détection dynamique des points
d’incendie, jusqu’à 10 points
d’incendie détectables
Interface réseau
Interface réseau WI-FI, Bluetooth intégrés
Général
Alimentation 12 VDC/2 A
Température de fonctionnement De 0° à 50°
Indice de protection IP54
Dimensions 1398.95 mm × 172 mm x 250.71 mm
06130 Grasse
Siret 533 663 340 00024 – NAF 4741Z

L’intelligence artificielle va-t-elle dépasser l’intelligence humaine?

L’intelligence artificielle (IA) accomplit des progrès fulgurants. Elle change en profondeur le monde de la justice, avec l’émergence d’une «justice prédictive». Les robots chirurgicaux font des prodiges, qui pourraient conduire à des ruptures majeures dans les techniques médicales. L’IA serait-elle sur le point de surpasser l’intelligence humaine ou biologique (IB)?…

C’est la thèse que défendait, dès 2017, le Dr Laurent Alexandre dans son ouvrage La guerre des intelligences, à qui son succès vient de valoir une nouvelle édition en livre de poche. Sa lecture nous offre l’opportunité de réfléchir, à travers la question de l’intelligence, à la spécificité et à l’avenir de l’humanité. Celle-ci est-elle à un tournant décisif qui pourrait la voir disparaître?

Un face-à-face mortifère?

Pour Laurent Alexandre, la «révolution NBIC» (nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives) se traduit par l’émergence d’une IA qui, ouvrant «des perspectives extraordinaires», se trouve d’ores et déjà en position de surpasser l’IB, voire de la réduire en esclavage. La machine pourrait triompher de l’être humain.

Mais pourquoi imaginer et craindre un conflit, qui plus est meurtrier? IA et IB sont-elles concurrentes, et ont-elles des intérêts contraires? L’IA ne pourrait avoir la velléité d’entrer en guerre contre l’IB que si deux conditions sont remplies: qu’elle se révèle plus performante que l’IB et qu’elle ait conscience de sa supériorité. Autrement dit: qu’elle soit dotée d’un pouvoir de décision, qui serait la marque d’une réelle autonomie, et d’une véritable conscience.

La première condition paraît remplie. «Le tsunami de l’IA» va déjà «trop vite et trop haut», estime Laurent Alexandre. «Le neurone perd chaque jour plus de points devant le transistor.» Dans la course à la productivité et à l’efficacité, «la rapidité et l’infaillibilité d’exécution des machines intelligentes» sont de nature à rendre «absolument non compétitif le travail humain». Le combat est ici inégal. L’IA «galope», tandis que l’IB piétine, dans l’attente d’une hypothétique mutation génétique. Une diligence ne peut lutter contre le TGV.

Une «singularité» bien hypothétique

Mais qu’en est-il de la seconde condition? Alexandre écrit que «l’IA pourrait devenir supérieure à l’humanité», pour qui elle prend «des allures de crépuscule». Ce qui fait la supériorité actuelle (bien qu’en grand péril?) de l’humanité est l’existence d’une volonté consciente. Même s’ils ne sont pas toujours bons, l’être humain est capable de faire des choix, de se doter de buts, et de se poser la question de la valeur de ceux-ci.

L’IA peut-elle être dotée (pire: se doter?) d’une telle capacité? Peut-elle devenir capable de réflexion, éthique et politique? C’est toute la question de la «singularité», «ce moment où l’intelligence des machines dépassera celle des hommes». Un tel moment est-il inéluctable? Est-il autre chose qu’une simple vue de l’esprit? Peut-on vraiment faire l’hypothèse d’une «IA forte», qui «aurait la capacité de cacher ses propres buts», et donc, déjà, d’en avoir?

Si l’intelligence biologique est limitée et faillible, du moins s’accompagne-t-elle de cette conscience de soi et de cette capacité de réflexion critique, que l’on ne pourrait attribuer à l’IA que par un tour de magie, semblable à celui qui fait du pantin Pinocchio un véritable être humain.

La croyance en un possible «basculement dans un monde où les robots seraient aussi intelligents que l’homme» témoigne d’une conception réductrice de l’intelligence, limitée à la «puissance de calcul»; et manifeste une crédulité enfantine devant une fable digne de Carlo Collodi. Comment croire sérieusement que l’IB puisse être le Geppetto donnant naissance à une IA dotée de «volonté libre» et de «conscience artificielle»?

Le vrai défi

Il n’empêche que le développement «galopant» de l’IA pose question. Sans aller jusqu’à penser que, trop faibles devant les machines, nous allons devenir leurs esclaves, voire être exterminé·es par elles, nous devons reconnaître que la perspective d’une automatisation croissante de tâches humaines de plus en plus complexes, et d’une prise en charge, envahissante, d’activités cognitives de haut niveau par des algorithmes, nous conduit au-devant d’une triple crise: sociale, éthique et existentielle.

Si même les médecins sont menacé·es de disparition, que reste-t-il pour le travail humain? Si l’intégrité de notre cerveau est en danger, comment protéger notre liberté de penser? Si l’IA nous défie dans ce que nous sommes en tant qu’êtres humains, comment préserver notre humanité?

Mais tel est alors sans doute, précisément, le véritable enjeu. L’IA nous met au défi de faire nos preuves en humanité! Où est l’essentiel, qu’il nous faudrait préserver de toutes nos forces? À travers la question de l’intelligence, c’est bien celle de la spécificité humaine qui est posée. «Que voulons-nous en tant qu’êtres humains? Avons-nous une spécificité à faire valoir?»

Finalement, où est l’ennemi?

Laurent Alexandre suggère de «sanctuariser quelques lignes rouges qui fondent notre humanité». Il voit pour celle-ci trois piliers: le corps physique, l’esprit individuel et le hasard. Ce qui lui permet de conclure, de façon optimiste: «Non, l’intelligence biologique ne mourra pas avec l’IA.»

Pour cela, nous ajouterions volontiers une condition: qu’elle sache quel est son véritable ennemi, et où il se cache. Car la crainte des méfaits d’une «IA forte» est le fruit d’une externalisation de nos terreurs. Nous craignons un ennemi extérieur, alors que, comme Paul Valéry nous en avait prévenus, le véritable ennemi est en nous.

«Le vrai rongeur, le ver irréfutable N’est point pour vous qui dormez sous la table, Il vit de vie, il ne me quitte pas!»

Le plus grand ennemi de l’intelligence humaine, et donc, finalement, de l’humanité, est tapi en l’être humain. Il porte un nom: la bêtise. Ou, pour le dire encore plus clairement, sauf le respect que l’on doit au lectorat: la connerie…

NANO PC NOUVELLE GENERATION

Nano PC UC – Nouveaux boîtiers
Spécifications
Broadcom BCM2711, Quad core Cortex-A72 (ARM v8) 64 bits SoC – 1.5GHz
4 Go LPDDR4-3200 SDRAM
2.4 GHz et 5.0 GHz IEEE 802.11ac sans fil, Bluetooth 5.0, BLE
Gigabit Ethernet
2 ports USB 3.0; 2 ports USB 2.0.
40 broches GPIO en-tête pour commande et domotique externe.
2 ports micro-HDMI (jusqu’à 4kp60 supportés)
Port d’affichage MIPI DSI à 2 voies, port photo MIPI CSI à 2 voies
Port audio in/out stéréo 4 pôles et vidéo composite
H.265 (4kp60 decode), H264 (1080p60 decode, 1080p30 encode)
Graphismes OpenGL ES 3.0
Emplacement de carte Micro-SD pour le chargement du système d’exploitation et le stockage de données 128Go v3 90M/s
Alimentation sur Ethernet (PoE) activée (nécessite une POE HAT séparée)

Émulation IOS Mac Hight Sierra
Windows 10 IOT Développeur
Linux Mint, Ubuntu, Debian, Mate, KDE, Archilinux,…
Fonction NAS OpenMediavault jusqu’à 8To
NVR Vidéo Surveillance Kerberos.io IP-Onvif

NANO PC 4B/4GB

Parce que de nombreux utilisateurs de PC ou Mac n’ont pas seulement un seul ordinateur de bord à la maison, mais en partie 4-5 postes (en comprenant les smartphones).

L’un fonctionne comme un lecteur multimédia HD avec un disque dur externe pour le home cinéma ou comme une radio Internet avec écran, l’autre comme un serveur webcam pour la surveillance par caméra avec flux en direct vers le téléphone portable, puis comme un serveur domotique comme le chauffage ou la commande d’éclairage et un autre comme un simple serveur imprimante WLAN ou comme un mini-ordinateur pour la navigation générale sur Internet, pour ne citer que quelques-uns des exemples.

Vous remarquerez que le petit « touche-à-tout » n’est pas seulement capable de beaucoup de choses, mais qu’il est aussi extrêmement bon marché, (à partir de 150.00€) ce qui le rend si attractif.

Quoi de neuf sur le NANO PC Pi 4 B ?

NANO PC Pi 3 B+
– 1,4 GHz ARM Cortex-A53 Quad Core CPU ARM Quad Core
– 1 GB LPDDR2 SDRAM LPDDR2 SDRAM
– Gigabit LAN RJ45 (via USB 2.0 jusqu’à 300 Mbit)
– Bluetooth 4.2
– 4x USB 2.0
– HDMI (1080p @H.264)
– micro USB @ 5V/2.5A

Nouveau NANO PC Pi 4 B
– 1,5 GHz ARM Cortex-A72 Quad Core CPU ARM Quad Core
– 1 Go, 2 Go ou 4 Go LPDDR4 SDRAM
– Gigabit LAN RJ45 (jusqu’à 1000 Mbit)
– Bluetooth 5.0
– 2x USB 2.0 / 2x USB 3.0
– 2x micro HDMI (1x 4k @60fps ou 2x 4k @30fps)
– USB Type-C @ 5V/3A

Il existe 3 variantes différentes – NANO PC Pi 4 B 1GB avec 1 GB de mémoire principale (ArtNr. : RASP PI 4 B 1GB)
– NANO Pi 4 B 2GB avec 2 GB RAM (ArtNr. : RASP PI 4 B 2GB)
– NANO Pi 4 B 4GB avec 4 GB de mémoire principale (ArtNr. : RASP PI 4 B 4GB)

En raison des autres connexions, telles que 2x micro HDMI au lieu de 1x HDMI et USB Type-C au lieu de micro USB, mais aussi en raison du remplacement du port LAN et du port USB, de nouveaux boîtiers sont nécessaires. Sinon, les accessoires existants sont entièrement compatibles avec le nouveau Raspberry Pi.

Indices :
– Pour une fonctionnalité complète, vous avez besoin du logiciel le plus récent, bientôt disponible sur  www.appex-s.fr ou dans la future boutique en ligne.
– il est recommandé d’utiliser l’alimentation d’origine ou une alimentation équivalente pour éviter d’éventuels problèmes avec le port USB-C.

Windows 10 : Microsoft finalise la mise à jour 19H2, vous pourrez bientôt la télécharger

Après avoir diffusé la mise à jour 19H1 de Windows 10 en mai dernier mai – et avoir connu quelques petits loupés au passage -, Microsoft semble prêt à publier la mise à jour automnale, intitulée pour l’instant Windows 10 19H2.

Ça y est : Microsoft vient de diffuser la build 18363.356 ESD de Windows 10 19H2 à destination des Windows Server Update Services (WSUS). En d’autres termes, cela signifie que la firme de Redmond ajoute actuellement la touche finale à cette mise à jour et qu’il la publiera bientôt. Cette version Windows 10 19H2 n’a pas encore de nom officiel, mais pourrait être baptisée Windows 10 October 2019 Update.

Une installation différente en fonction de la version de Windows 10 utilisée

Microsoft a déjà précisé que cette version s’installerait différemment en fonction de la version de Windows 10 utilisée. Les utilisateurs exécutant la version de mai 2019 de Windows 10 pourront mettre en place la version 19H2 comme une mise à jour cumulative mensuelle, via le Windows Update. Une procédure d’installation plus rapide et plus légère, en somme. Les utilisateurs dont la version du système n’est pas à jour (Windows 10 October 2018 ou édition antérieure) l’installeront quant à eux par l’ancienne méthode, c’est-à-dire en téléchargeant l’équivalent de l’intégralité de l’OS, ou presque.

Le 2 octobre prochain, Microsoft devrait réaliser l’annonce de la nouvelle gamme Surface. Il est probable que l’entreprise profite de l’évènement pour présenter la mise à jour 19H2 de Windows 10, avant de la mettre en ligne début octobre.

Il est prévu qu’elle n’apporte pas beaucoup de nouveautés marquantes, mais plutôt qu’elle installe des fonctionnalités destinées à améliorer les performances et la fiabilité, comme une sorte de « Service Pack ». Elle devrait ainsi améliorer significativement le mécanisme de mise à jour de Windows, revoir la politique de répartition de la charge de travail entre les différents cœurs des processeurs et intégrer une nouvelle version stable du navigateur Microsoft Edge qui repose désormais sur Chromium. Rappelons enfin que, si vous souhaitez tester toutes les améliorations (mais aussi les bugs) des prochaines éditions de Windows 10, il vous est toujours possible de participer au programme Windows Insider développé par Microsoft.

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